Les véritables utilités d’un contrat d’assurance vie

L’assurance vie se différencie des offres en assurance classique. Il s’agit d’un produit d’épargne permettant aux souscripteurs de constituer ou de transmettre un capital tout en profitant d’un taux fiscal allégé. À ce propos, les compagnies d’assurance ou la banque doivent verser à la fin du contrat, en plus du capital initial, les intérêts engendrés en fonction des versements effectués. Grâce à cette particularité, elle est devenue l’un des placements privilégiés par les Français parce qu’ils se rendent comptes que ce produit d’épargne est un moyen fiable pour fructifier les actifs. Ce placement peut être aussi bénéfique pour les entreprises financières qui tirent des revenus conséquents en provenance des différents frais tels que la gestion, le versement ou encore l’arbitrage. À l’évidence, le principe de l’assurance vie est de produire au fil du temps des revenus supplémentaires versés par l’assureur en plus du montant d’origine effectué par l’épargnant. Comme il s’agit d’un placement limité dans le temps, le souscripteur doit désigner un ou plusieurs bénéficiaires pour percevoir les actifs dus par l’assureur.

L’assurance vie, un placement de choix pour transmettre un capital

En tant que premier contrat d’épargne en France, l’assurance vie est le placement le plus sollicité pour transmettre un capital. En effet, c’est le moyen le plus fiable pour se constituer une épargne, mais aussi elle offre l’opportunité de préparer sa retraite ou d’avantager son conjoint ou son partenaire. Ainsi, elle peut être considérer tel qu’un instrument de transmission fiable et pratique en raison de sa souplesse et sa fiscalité très avantageuse qui s’applique aux capitaux laissés par le défunt. Sur le plan civil, l’assurance vie est un moyen idéal pour gratifier un tiers ou un concubin qui ne fait pas partie des héritiers en lui accordant une part de son patrimoine supérieure à ce qu’il aurait pu transmettre par testament. Sur le plan fiscal, les droits de succession appliqués à un héritage ne s’appliquent pas aux capitaux décès de l’assurance vie. Leurs fiscalisations ne sont pas prises en compte qu’à partir d’une certaine limite, soit 152 000 € par bénéficiaire.

Un placement sûr pour compléter ses revenus à la retraite

L’autre atout de signer un contrat d’assurance vie c’est que l’épargnant peut constituer d’un complément de retraite par capitalisation. En cause, sa fiscalité avantageuse et sa souplesse lui attribuent une place d’exception au niveau de ses souscripteurs. Ce contrat est alimenté en fonction du rythme choisi par le titulaire du compte et ceci varie selon sa capacité d’épargne. Les actifs placés en assurance vie sont disponibles dans l’immédiat et sa liquidité reste toujours certaine. En cas de décès de l’assuré, il peut être transmis hors succession. Afin de se constituer un complément de retraite significatif, il est recommandé de souscrire un contrat dont les fonds de départ seront importants du fait d’une prise de risques calculée. Cette option permet à l’épargnant lui-même de gérer librement son contrat. À titre d’information, pour avoir le droit de souscrire une assurance vie, l’épargnant doit avoir la capacité juridique de signer un contrat (être majeure, ne pas être sous tutelle ou bien d’autre). Aussi, son profil doit correspondre à celui qu’exige la compagnie d’assurance, notamment sur l’âge. Enfin, les primes indiquées dans le contrat doivent être payées régulièrement.

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